Le coeur gros
C'est bizarre quand on y pense, avoir le coeur gros, ça veut dire qu'on se sent triste, pas bien, qu'on porte un peu toute la peine du monde sur nos épaules, que là ça ne va pas bien fort... Et pourtant, avoir le coeur gros si on inverse un peu les mots, ça donne à peu près "avoir un grand coeur". Et avoir un grand coeur, c'est juste merveilleux. Et finalement, quand on a un grand coeur, c'est qu'on a souvent le coeur gros.
Là tout de suite, je ne sais pas si j'ai un grand coeur.
Mais j'ai le coeur gros.
(ou le cafard, mais ça rend moins bien, alors on va rester sur le coeur gros)
Lundi 7 mars 2011 à 15:06
Lundi 31 janvier 2011 à 19:32
A coeur ouvert on ne sait plus trop qui on est. Ou au contraire on le sait trop et on finit par prendre peur.
Ce n'est pas pour rien qu'on ne se livre qu'à quelques personnes.
A coeur ouvert c'est aussi là que nous risquons de tout perdre, les pédales, la boule, l'autre, les autres, soi-même.
A coeur ouvert on ne demande qu'à être compris ou du moins accepté.
Et si ce n'est pas le cas on développe une lueur assassine.
Assassine envers soi déjà parce qu'on est des idiots de se confier, de prendre tant de risques et de ne récolter que des clopinettes en retour voire pire, du dégout, du mépris et que sais-je encore...
Assassine envers l'autre ou les autres parce que ce n'est pas normal de ne pas être capable d'accepter quelqu'un qui s'offre et qui a tout à perdre et si peu à gagner en comparaison.
A coeur ouvert.
A coeur assassin.
Je ne suis pas quelqu'un de bien et personne ne l'est parce qu'à un moment dans notre vie on a tous fait un truc moche, moi j'en ai fait plein.
A coeur ouvert on se sens tellement bien (je me sens tellement bien) qu'on (je) me confesse un peu trop souvent, et surtout souvent aux mauvaises personnes : celles qui acceptent tant que vous ne représentez pas un danger pour elles, mais dès que c'est le cas, plus question de les approcher, et on entre dans de petits jeux mesquins, mais c'est une autre histoire.
Juste besoin de cracher mon venin.
A coeur assassin.
Ce n'est pas pour rien qu'on ne se livre qu'à quelques personnes.
A coeur ouvert c'est aussi là que nous risquons de tout perdre, les pédales, la boule, l'autre, les autres, soi-même.
A coeur ouvert on ne demande qu'à être compris ou du moins accepté.
Et si ce n'est pas le cas on développe une lueur assassine.
Assassine envers soi déjà parce qu'on est des idiots de se confier, de prendre tant de risques et de ne récolter que des clopinettes en retour voire pire, du dégout, du mépris et que sais-je encore...
Assassine envers l'autre ou les autres parce que ce n'est pas normal de ne pas être capable d'accepter quelqu'un qui s'offre et qui a tout à perdre et si peu à gagner en comparaison.
A coeur ouvert.
A coeur assassin.
Je ne suis pas quelqu'un de bien et personne ne l'est parce qu'à un moment dans notre vie on a tous fait un truc moche, moi j'en ai fait plein.
A coeur ouvert on se sens tellement bien (je me sens tellement bien) qu'on (je) me confesse un peu trop souvent, et surtout souvent aux mauvaises personnes : celles qui acceptent tant que vous ne représentez pas un danger pour elles, mais dès que c'est le cas, plus question de les approcher, et on entre dans de petits jeux mesquins, mais c'est une autre histoire.
Juste besoin de cracher mon venin.
A coeur assassin.
Jeudi 6 janvier 2011 à 11:00
C'est malheureux de voir que bon nombre de personnes qui se prétendent un peu tout mieux que tout le monde, et sont fiers d'être arrivés là où ils en sont, sont des pourritures qui ne font plus aucun effort et qui prennent simplement plaisir à descendre les autres et à leur faire du mal.
Dans ma formation il faut savoir se battre.
On s'est tous battu pour en arriver là où on en est et je trouve que c'est un manque de respect envers les personnes qui nous ont choisis et envers nous même que de se foutre de tout et à la moindre de nos envies de ne pas se pointer en cours, de ne pas faire son travail, de ne pas le rendre à temps, de retarder tout un groupe juste parce qu'on avait "mieux" à faire.
Oui il faut faire la part des choses, mais quand même, la moindre des choses c'est de se respecter et de respecter les autres, hors ce n'est manifestement pas le cas de tout le monde (loin de là parfois).
Dans ma formation il faut savoir se battre.
On s'est tous battu pour en arriver là où on en est et je trouve que c'est un manque de respect envers les personnes qui nous ont choisis et envers nous même que de se foutre de tout et à la moindre de nos envies de ne pas se pointer en cours, de ne pas faire son travail, de ne pas le rendre à temps, de retarder tout un groupe juste parce qu'on avait "mieux" à faire.
Oui il faut faire la part des choses, mais quand même, la moindre des choses c'est de se respecter et de respecter les autres, hors ce n'est manifestement pas le cas de tout le monde (loin de là parfois).
Mercredi 5 janvier 2011 à 11:26
I try to change but I change my mind - Fountains of Wayne
- - -
On veut tous changer.
Généralement tous en même temps à la même époque.
Au nouvel an, c'est la période des bonnes résolutions (qu'on ne tient jamais).
On est tous une belle bande de couillons.
Rien à faire.
Pourquoi est-ce qu'on veut désespérément changer, être autrement.
Etre un autre.
L'herbe parait toujours plus verte ailleurs c'est vrai, mais ce n'est pas pour rien si on utilise le verbe paraître et non pas être.
On est très bien comme on est.
On ne doit pas décider du changement.
Il doit se faire de lui même, spontanément pour être sincère. Sinon ça ne sert à rien, ce n'est pas dans notre nature, et ce changement ne nous amènera rien de bon et ne durera pas.
On ne doit même pas en avoir conscience.
On ne se rend compte qu'on a changé que quand quelqu'un nous le fait remarquer finalement. Et parfois on a même du mal à savoir quand et comment on a changé parce qu'on a l'impression d'être toujours le même.
Le changement est progressif et pas brutal.
Ce changement nous berce et nous fait grandir, nous permet de nous épanouir.
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On veut tous changer.
Généralement tous en même temps à la même époque.
Au nouvel an, c'est la période des bonnes résolutions (qu'on ne tient jamais).
On est tous une belle bande de couillons.
Rien à faire.
Pourquoi est-ce qu'on veut désespérément changer, être autrement.
Etre un autre.
L'herbe parait toujours plus verte ailleurs c'est vrai, mais ce n'est pas pour rien si on utilise le verbe paraître et non pas être.
On est très bien comme on est.
On ne doit pas décider du changement.
Il doit se faire de lui même, spontanément pour être sincère. Sinon ça ne sert à rien, ce n'est pas dans notre nature, et ce changement ne nous amènera rien de bon et ne durera pas.
On ne doit même pas en avoir conscience.
On ne se rend compte qu'on a changé que quand quelqu'un nous le fait remarquer finalement. Et parfois on a même du mal à savoir quand et comment on a changé parce qu'on a l'impression d'être toujours le même.
Le changement est progressif et pas brutal.
Ce changement nous berce et nous fait grandir, nous permet de nous épanouir.
Samedi 11 décembre 2010 à 10:19
Le maquillage ça peut vous tuer quelqu'un...
Qu'il le porte ou pas ça ne le rendra pas plus beau...
Au contraire parfois.
Qu'il le porte ou pas ça ne le rendra pas plus beau...
Au contraire parfois.