Pour que S retrouve son sourire.
Pour que je n'ennuie plus R.
Pour que je sois fofolle avec D.
Pour que je sois toujours en plein forme pour E.
Pour que je vois plus souvent P et qu'elle soit fière.
Parce que j'ai vu Ponyo, parce que je suis tombée amoureuse de son père, parce que j'ai enfin la Mécanique du coeur, et que je l'ai dévorer en quelques heures. Parce que tout ça, c'est que du bonheur. Parce que ma vie en ce moment c'est que du bonheur, parce que je commence à tracer mon chemin, parce que je réalise peu à peu ce que je veux, parce qu'il est temps, parce que je suis une éternelle amoureuse au coeur d'artichaud et aux décisions de bébé, parce que j'aime avoir des trucs dans la bouche, surtout quand c'est une touillette orange fluo qui a baignée dans un diabolo grenadine sous le soleil, parce que j'arrive enfin à jouer Bibbiddi Bobbiddi Boo à la guitare.
Je me remets à écrire, et dès ce soir au plus tard vous aurez des nouvelles de la poitrine de la princesse, dans un deuxième chapitre bien débuté.
Parce que la joie de vivre ce n'est pas si compliqué ! :)
En attendant, je ne remercie pas C.
Jeudi 16 avril 2009 à 12:31
Mardi 7 avril 2009 à 14:49
Voilà, j'avance toujours petit à petit dans mon histoire. Cependant étant donné que cette histoire est surtout auto biographique, ça prend du temps, surtout quand il ne se passe pas grand chose, mais réjouissons nous, des choses (insinifiantes on est daccord) se passent.
Voilà une partie d'un "épisode" à venir.
Période : Le garçon aux mains agiles
La princesse avait décidé de lui appartenir. Du moins pour un certain laps de temps. Elle ignorait elle même combien de temps celà pouvait durer. Simplement c'est un jeu auquel elle aimait à jouer lors des périodes chaudes où son coeur palpitait plus que de raison pour un bel inconnu croisé au coin de la rue. Le hasard et le temps en seraient les seuls maitres. Si durant cette période, ce garçon s'intéressait à elle, alors elle gagnait. De la même manière, si au contraire il ne montrait aucun intérêt pour elle, il disparaissait de son univers tout comme l'indicateur de temps. C'est à cet indicateur ou plutôt cette marque qu'elle se fiait pour déterminer la durée du jeu mesquin auquel elle se livrait. Cette marque elle se l'infligeait sur le sein gauche, au plus proche de son coeur. Autrefois, elle s'apposait une marque bien douloureuse qu'elle traçait dans sa chair à travers le sang et la peau. Maintenant que chaque perte et redécouverte d'un morceau de coeur était plus douloureuse que la précédente, elle ne ressentait plus ce besoin de se faire souffrir de la sorte, la malédiction s'en chargeait pour elle. C'est pourquoi, cette fois là, elle préféra utiliser un moyen plus esthétique et plus sûr : de l'encre de coquelicot. Toutefois rare et cher étant donné la froide contrée dans laquelle elle vivait.
Le jeu commençait, oui il débutait tout juste, et déjà, elle se sentait remplie de bonheur et de joie, sans pour autant savoir si elle gagnerait.
Elle était même persuadée de perdre.
Mais pour la princesse, l'importance de ce jeu ne résidait pas dans la victoire, mais dans le jeu lui même.
Pour ceux qui aimeraient et voudraient lire depuis le début, c'est tout près, juste là
Voilà une partie d'un "épisode" à venir.
Période : Le garçon aux mains agiles
La princesse avait décidé de lui appartenir. Du moins pour un certain laps de temps. Elle ignorait elle même combien de temps celà pouvait durer. Simplement c'est un jeu auquel elle aimait à jouer lors des périodes chaudes où son coeur palpitait plus que de raison pour un bel inconnu croisé au coin de la rue. Le hasard et le temps en seraient les seuls maitres. Si durant cette période, ce garçon s'intéressait à elle, alors elle gagnait. De la même manière, si au contraire il ne montrait aucun intérêt pour elle, il disparaissait de son univers tout comme l'indicateur de temps. C'est à cet indicateur ou plutôt cette marque qu'elle se fiait pour déterminer la durée du jeu mesquin auquel elle se livrait. Cette marque elle se l'infligeait sur le sein gauche, au plus proche de son coeur. Autrefois, elle s'apposait une marque bien douloureuse qu'elle traçait dans sa chair à travers le sang et la peau. Maintenant que chaque perte et redécouverte d'un morceau de coeur était plus douloureuse que la précédente, elle ne ressentait plus ce besoin de se faire souffrir de la sorte, la malédiction s'en chargeait pour elle. C'est pourquoi, cette fois là, elle préféra utiliser un moyen plus esthétique et plus sûr : de l'encre de coquelicot. Toutefois rare et cher étant donné la froide contrée dans laquelle elle vivait.
Le jeu commençait, oui il débutait tout juste, et déjà, elle se sentait remplie de bonheur et de joie, sans pour autant savoir si elle gagnerait.
Elle était même persuadée de perdre.
Mais pour la princesse, l'importance de ce jeu ne résidait pas dans la victoire, mais dans le jeu lui même.
Pour ceux qui aimeraient et voudraient lire depuis le début, c'est tout près, juste là
Samedi 3 janvier 2009 à 15:18
Aujourd'hui j'ai mal au ventre, mais j'ai la bougeotte...
Sauf que je dois finir mes devoirs, parce que lundi je reprends les cours.
J'ai envie de me gâver de conneries de séries américaines.
Je suis heureuse, parce que j'ai réussi à finir le premier chapitre de mon histoire !
Sauf que... ben maintenant que le premier chapitre est fini, faut que j'écrive la suite.
Mais y a jamais personne pour lire cette histoire... ça m'attriste un peu.
Peut-être que le pseudo est un peu bizare...
LA.POITRINE.DE.LA.PRINCESSE
J'ai envie de plein de choses là maintenant tout de suite.
De m'acheter tous les mangas qui me manquent, d'aller faire les soldes pour me trouver tout ce que j'ai sur ma liste (la pauvre elle date de l'année dernière j'ai pas fait les magasins depuis ^^), d'écouter de la musique, de danser, de sauter sur mon vélo et d'aller les voir tous (dans le froid sibérien qui sévit sur la Moselle : -6°C ce matin....), de faire du patin à glace, d'aller marcher dans les champs près de la rivière...
Sauf que j'ai d'autres priorités comme on dit...
Alors salut mes petits choux, Sarah repart faire ses Maths et sa SVT.... Sarah déteste les sciences mais elle va prendre ça avec le sourire parce que si elle ne se plante pas trop c'est la dernière année de connerie de "l'élite scientifique" qu'elle doit supporter ! Sarah n'aime pas l'élite, c'est des conneries, on est tous l'élite dans quelque chose, Sarah c'est dans le ridicule, eh chacun son truc ^^
Sauf que je dois finir mes devoirs, parce que lundi je reprends les cours.
J'ai envie de me gâver de conneries de séries américaines.
Je suis heureuse, parce que j'ai réussi à finir le premier chapitre de mon histoire !
Sauf que... ben maintenant que le premier chapitre est fini, faut que j'écrive la suite.
Mais y a jamais personne pour lire cette histoire... ça m'attriste un peu.
Peut-être que le pseudo est un peu bizare...
LA.POITRINE.DE.LA.PRINCESSE
J'ai envie de plein de choses là maintenant tout de suite.
De m'acheter tous les mangas qui me manquent, d'aller faire les soldes pour me trouver tout ce que j'ai sur ma liste (la pauvre elle date de l'année dernière j'ai pas fait les magasins depuis ^^), d'écouter de la musique, de danser, de sauter sur mon vélo et d'aller les voir tous (dans le froid sibérien qui sévit sur la Moselle : -6°C ce matin....), de faire du patin à glace, d'aller marcher dans les champs près de la rivière...
Sauf que j'ai d'autres priorités comme on dit...
Alors salut mes petits choux, Sarah repart faire ses Maths et sa SVT.... Sarah déteste les sciences mais elle va prendre ça avec le sourire parce que si elle ne se plante pas trop c'est la dernière année de connerie de "l'élite scientifique" qu'elle doit supporter ! Sarah n'aime pas l'élite, c'est des conneries, on est tous l'élite dans quelque chose, Sarah c'est dans le ridicule, eh chacun son truc ^^
Dimanche 19 octobre 2008 à 18:54
Prologue : peut être modifié par la suite.
Son coeur tomba, mais quand elle s'en rendit compte il était trop tard, bien sur elle le chercha parmi les feuilles qui jonchaient le sol le sublimant de couleurs éclatantes, mais elle ne le retrouva pas. Ce fut lui qui le retrouva. Un jeune homme à la peau yaourt et aux lèvres framboises. Il était trop tard, elle l'avait perdu et il ne restait plus à cette petite princesse aux seins écrasés qu'à attendre que le jeune homme se décide soit à l'avaler, soit à lui rendre. Elle le retrouverait certainement morceau pas morceau. Elle le sentait, comme celà avait déjà été le cas avec l'ogre. Non, l'ogre c'est une autre histoire, qui dailleurs est fini. Du moins l'espère t'elle. Mais comment savoir si tout est réellement fini ?