Vendredi 20 février 2009 à 22:07

Je sais que j'arrive un peu tard et que tout le monde connais déjà l'annecdote et a déjà vu la photo, mais n'empêche que, c'est génial quand même !

http://petite-fee-de-pluie.cowblog.fr/images/manif.jpg

Dimanche 1er février 2009 à 19:24

J'ai une incommensurable envie de regarder Alice aux pays des merveilles. Je lis le livre en ce moment et ça me rappelle tellement de passages du Disney...
Je voudrai aussi balancé tout ce que je pense sur certaines personnes, sauf que là maintenant, il faut être prudente les scorpions ont des oreilles et piquent dans le dos.
J'ai perdu mon calmant. Mon baume à cicatrices, ma colle à coeur brisé. Je n'ai plus le droit de l'approcher. Quant à mon premier baume, le plus efficace qui soit, il est à des centaines de kilomètres en Bretagne et comme moi il prépare son BAC...
Je veux partir loin de cet enfer ambulant. L'année prochaine sera un nouveau départ. Avec du vieu : les mêmes principes, les mêmes envies, les mêmes choix, les mêmes ambitions, la même trombine, la même silhouette.... Mais aussi du neuf : de nouvelles rencontres, une nouvelle ville (avec un peu de chance), un nouvel établissement, un nouveau logement (toujours avec un peu de chance)... Mais surtout, garder des contacts avec ceux qui me sont vraiment chers. Comme mon "pseudo cousin-calmant" et mes "pseudo cousines charmantes" et mes deux blondes.

L'année prochaine sera une rude épreuve, mais nous survivrons. Et cette fois pas besoin de chance :)

Jeudi 22 janvier 2009 à 20:17

Je° les¤ déteste*.

°Je : moi, moi, moi je, moi je, je. Parce que Sarah a décidé qu'aujourd'hui elle était égocentrique et nombriliste.

¤Les : eux, elles, les bidules, les bordels, les machins, tous. Parce que Sarah toutes ces choses là....

*Déteste : .... elle ne les supporte plus. Du verbe détester, proche de la haine, Sarah en a sa claque des geignards et si elle pouvait pour son bien à elle avant le bien de l'humanité elle aurait tué une certaine personne, voire même bien plus d'une.

Jeudi 1er janvier 2009 à 19:37

Encore une nouvelle année qui commence.
Alors bonne année.
Même si à vrai dire je préfèrerais que la bonne année soit réservée à mes amis.

Vous avez pris des bonnes résolutions ?
C'est cool.
Moi ma résolution, ma seule et unique, se résume à avoir le BAC, parce que je veux pas recommencer une autre année merdique dans cet enfer blanc qui est mon bahut.

Voilà, dimanche je devais passer une super journée, sauf que non.
Madame n'est pas là, alors monsieur annule.
Rien que pour ça je la déteste, alors que je passe mes journées avec. Que je l'aime bien, même si j'ai la sensation qu'il y a un truc qui cloche.
Je suis débile hein ?
Bah ouais, tant pis pour moi.

Tant qu'on y est dans les conneries, vous savez quoi ? Je commence à apprendre à jouer de la guitare, et je sais déjà jouer un morceau : Come as you are de Nirvana (oui je sais c'est un truc tout con).  Je suis contente. C'est bête, mais en fait, quand je joue de la guitare, je me sens un peu comme quand j'écris, sauf que là c'est encore mieux, parce que pas besoin d'inspiration ou d'envie, l'envie vient toute seule au bout d'un moment.

Dites tant qu'on y est vous connaitriez pas des trucs pas trop dur à jouer ? Merci, et bonne année.
Pardon pour le début d'article foireux, je vous aime tous, et je vous souhaite une merveilleuse année, prospère, heureuse, bref du bonheur et de la joie dans tous les domaines.
:)

Mardi 23 décembre 2008 à 14:16

La malédiction qui pèse sur moi persiste.
A croire qu'elle ne s'effacera jamais. Déjà, une malédiction n'est pas simple à gérer. Mais en plus si vous êtes complètement parano et que partout vous voyez le mal et les injures contre vous...

Comment en suis-je arrivée là ?
Je n'avais pas si peur avant. Je n'étais pas si perfectioniste avant. Je n'attachais pas tant d'importance à l'opinion des gens. Je me fichais d'avoir les même gouts que les autres.
Et maintenant... J'aimerai avoir des points communs avec eux, des liaisons, quelque chose auquel me rattacher.
Je voudrai pouvoir oublier ce qui s'est passé. Mais comment voulez-vous oublier une chose qui hante vos journées comme vos nuits, une chose qui danse en écho en vous dès que vous l'appercevez et qui vous transperse le cerveau et le coeur.
Je suis bloquée, je ne peux plus le toucher. Je le voudrai tellement, mais je ne peux pas.
Je ne peux pas, parce que rien que l'idée me fait me détester, le toucher, alors qu'il avait clairement dit que ces gens dont je fais partie le dégoutte et ne devraient pas exister... Déjà lui parler doit lui sembler une insulte, alors le toucher...

Si je n'avais pas été ce que je suis les choses auraient sans doute été plus simples. Mais on ne rejette pas ce qu'on est.
Je me sens comme une fée à qui on aurait coupé les ailes et à peine capable de marcher sur ses petits talons aiguilles.

Même si de son côté j'ai l'impression que ça va mieux. Qu'il s'y est fait, qu'il a vu que ces gens méritent de vivre et ne sont pas bien différents de la "norme".
C'est de mon côté que tout cloche. Je ne peux plus l'approcher sans craindre une déferlante de rage et de rancoeur ou de faire quelque chose qui redéclenche ce flot de mots qui m'avait transpersé comme une poupée vaudou de mille aiguilles...

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