Samedi 24 novembre 2007 à 12:38

On soupir tous. Simplement en ce moment on pousse tous de plus en plus de soupir. Moi même en ce moment, ne trouvant pas bien quoi écrire ici, je soupire. Je me rends compte que bientôt je perdrai peut être définitivement toute trace de jeunesse en moi avec mon seizième anniversaire. Le temps ça passe, parfois trop vite, parfois trop lentement. En ce moment les deux. Trop vite parce que chaque seconde de passée est une seconde de perdu, une seconde sans elles, une seconde sans eux. J'ai envie de renoué le contact, de retrouver des liens avec des gens à qui pourtant je n'ai plus palé depuis tellement longtemps... C'est comme si ces gens à qui je pense encore assez souvent avaient disparu de la surface de la terre. Une fois que je les croise, on se reconnait, on se sourit et on passe, comme ça. Je déteste ça. Je voudrai retrouver Ludo qui a tellement changé, revoir tous ces gens qui ont été présent un jour dans ma vie. Où en sont-ils maintenant ? Sont-ils enfin heureux ? Ont ils trouvé leur place ? Les idiots sont ils toujours les même ? Les gens continuent-ils à prendre les autres pour des passe temps, des bouche trou ? Que je déteste ce mot. Mais on ne peut après tout rien y faire. On ne peut rien faire pour les âmes perdues que de leur montrer la voie qui nous semble la plus indiquée pour eux, nous ne pouvons pas les forcer à l'emprunter. On ne peut aider les gens contre leur gré, tout au mieux, nous les détruisont. Les gens sont détestables, mais comment se passer de leur détestable voix, de leur méprisable façon de parler et d'être en public. En dehors de tout ça, chez eux, hors de tous artifices, ce ne sot plus les mêmes. Une fois la carapace retirée, ils sont les plus adorables personnes au monde, ou au contraire des démons qui ne demandent en journée qu'à sortir. Chacun de nous à son histoire, ses choix, mauvais ou bon, sa vie méprisée ou adorée, mais en aucun cas une vie ne peut être pitoyable. La vie, même si elle ne nous fait pas de cadeau, il faut qu'on l'apprivoise, parfois qu'on se batte avec elle, mais au final, elle finit toujours par nous récompenser. Parfois elle nous punit sans raison, sous le coupd e la colère, de la folie, mais elle sait reconnaitre les gens qui valent la peine. Il n'y a pas de bon ou de mauvais, il n'y a que des nuances.

Vous croyez que la vie c'est du concret ? Moi pas. Mais c'est tellement plus impressionnant et merveilleux quand c'est abstrait, quand on essait de déchiffrer, quand on se creuse le crâne à la recherche d'un message. Finalement, la plupart du temps aucun message n'est laissé, pourtant nous en trouvons un quand même. Et chacun notre tour, nous avençons, nous écrivons les pages de notre histoire, nous retrouvons les éléments de nos autres vies, des images, des flashs passés en boucle dans notre tête. Des élements dont personne ne se souvient mais qui nous sont bels et bien arrivés, en rêve, ou en vie. Simpelement, c'est peut être ridicule, mais je crois que nous n'avons pas qu'une vie. Que notre présence ici est essentielle à la punition de nos faits passés, à notre ouverture. Nous ouvrons peu à peu les yeux sur ce qui nous entoure. Et je ne parle pas des scientifiques et autres. Eux sont inccapables de croire encore à quelque chose d'un peu fou, de non matériel. L'immatériel existe, il nous dépasse.

Par bullovore le Dimanche 25 novembre 2007 à 12:31
l'immatériel c'est notre coeur et notre ame.
Tout n'est que l'enssemble de rien.
Philosophie quand tu nous tiens...
J'adore les livres de ma vies, certains moments sont plus durs que d'autres,
mais je ne m'en souvient presque plus, seulement que j'ai eu mal.
Les bons moments, eux, restent !
 

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