Dimanche 29 juin 2008 à 22:07

Chez moi ça ne se bouscule pas au portillon. Il faut avouer aussi que le portillon est taillé dans des formes grossières et quand on l'ouvre il grince un peu au lieu de chanter doucement une délicieuse mélodie. Quand on le touche il s'effrite comme pour échapper à une emprise inévitable.

Je vous annonce que je me suis créé un nouveau monde, par sur cowblog cette fois-ci, et ce nouveau blog me permettra de publier uniquement mes écrits, pour mettre un peu d'ordre ici, pour que tout soit bien. Pour l'instant il n'y a que quelques vieilles petites choses, mais enfin, il faut bien commencé par le vieu avant de poursuivre avec le neuf.

Mardi 17 juin 2008 à 13:40

http://meimou.orgEn relisant les XXX HOLIC dans l'espoir de faire passer un peu le stress qui grandit à l'approche de l'épreuve de bac écrit de français, j'ai retrouvé un élément pour vous démontrer que les enfants du 27novembre sont maudits. Himawari-chan, elle aussi est née le 27novembre, et elle aussi est maudite.

Vous voyez ? On n'échappe pas à son destin ^^

Lundi 16 juin 2008 à 18:40

Ce qu'il y a de troublant avec les mots, les lettres, les mails, les sms, les romans, toutes les formes écrites. C'est qu'on oublie bien souvent qui il y a derrière.

Les mots ont cette magie incroyable de nous montrer une autre facette des gens, de voir tout ce qu'ils sont et qu'on ne connait pas, quand j'y pense, ça me donne le tournis. C'est dingue, moi même en me lisan des fois, il me semble que ce n'est pas moi.

=) Il doit y avoir une sorte de démon de l'écriture qui s'empare de vos pensées et les retranscrit à sa manière sur une feuille. Pourquoi pas ? Ce monde est tellement dingue, alors tant qu'à faire, un peu plus ou un peu moins, je me demande ce que ça peut bien changer.

Je tâcherai de m'en souvenir, c'est une promesse que je me fais à moi même. Espérons que cette fois-ci je ne m'oublie pas. ;)

Jeudi 29 mai 2008 à 19:06

Juste parce que ça fait partie des phrases qui ensolleilent mon univers et parce que Friends c'est magique.

CHANDLER "Si je veux me faire un Bryan, je me fait un Bryan.... Salut Bryan"

ROSS " Ton fric est à moi Green !"
RACHEL "Ta braguette est ouverte Geller."

JOEY " Le sexe, non la bouffe, non le sexe... Je veux des filles allonger sur du pain ! Et toi Ross entre le sexe ou la bouffe ?"
ROSS "Le sexe !"
JOEY "Je reformule, entre le sexe et les dinausores ?"
ROSS " ...."

JOEY " Joey pas partager son manger !"

RACHEL " Joey, maintenant ils savent qu'on sait !
PHEOBE "Oui mais ils ne savent pas qu'on sait qu'ils savent !"

Merci, j'avais bien besoin de me rappeler de tout ça. =)
J'ai de plus en plus l'impression que le collège c'est bien loin et les aprem avec toi aussi. Tu me manques, Patou, je t'aime (k)

Jeudi 22 mai 2008 à 19:29

Pas une minute de répits. Le cœur qui bondit et gronde, les mains qui se refroidissent, la chair de poule, le corps qui tremble, le rire qui sort tout seul, les larmes qui dégoulinent sans raison.
Tout recommence.
Je pense à ça H24. Pas moyen de me concentrer, en relisant ma leçon à voix haute à la maison, ma mère m'a dit que je lisais la même depuis cinq minutes et que si je ne comprenais pas je devais lui demander. Une phrase simple " Il existe 4 phases principales pour la duplication cellulaire végétale : prophase, métaphase, anaphase, télophase".
J'ai arrêter cinq minute puis j'ai repris, et ça a recommencé, je ne me rends même pas compte que ça tourne en boucle, comme mon vieux CD rayé de Bob Dylan.
Je ne devrait même pas dire ça, c'est injuste, incorrect. Mais j'ai tellement peur que l'histoire se répète encore une fois. L'histoire ne se répète jamais vraiment, mais ça se finit toujours de la même façon. C'est comme si je lisais plusieurs fois le même livre sans m'en rendre compte.
Je voudrai que ça s'arrête, ce n'est pas le moment d'être obsédée. Je ne suis pas obsédée.
Ça s'aggrave de minute en minute, le souffle coupé, la poitrine qui se soulève à un rythme trop régulier, le cœur qui s'emballe beaucoup trop par rapport à d'habitude.
C'est la panique mécanique. Je suis obsédée. Il faut que je fasse l'impasse, je ne peux pas.
Je me raccroche à chaque mot qu'on emploi en parlant de lui, ça empire, l'orage monte et j'entends le soupir qui grimpe et prend de l'ampleur, pendant que ma tête s'embrouille en réflexions futiles. Je rigole, je souris,je chante de plus en plus, je tente de comprendre ce monte dans lequel je n'évolue pas. Je voudrai suivre la cadence, sa cadence. Tout va trop vite, je ne peux pas y arriver. Je ne saisis que des bribes. Il faut que je me concentre au lieu de me perdre en contemplations.
Je déteste mes rêves, je sais pourquoi, il y a une bonne raison. Les rêves nous montrent ce que nous refusons de voir. J'aurai préférer rester dans l'ignorance plutôt que de m'attarder dans l'incertitude.
Je bafouille. La fatigue et le manque de sommeil n'ont rien à voir là dedans. Ce ne sont que des conséquences. J'écris, je chante, je dessine, et j'entends dans ma tête des millions de chansons d'amour niaises insupportables. Les petites attentions me donne la nausée. Il faut que je mette fin à cela tout de suite.

Change de disque, Sarah.


<< S'imprégner du futur | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | Embrasser le passé >>

Créer un podcast