Mardi 23 décembre 2008 à 18:23
Il est en ce monde certaines choses qui se passent de tout commentaire.
Mercredi 10 décembre 2008 à 18:09
Une vraie girouette...
De l'un à l'autre, et de l'autre à l'un.
Entre la douceur d'un yaourt à la framboise et la magie de fines gauffrettes et de chocolat.
Je me fous, d'y voir flou, pas besoin de lunettes pour embrasser et chanter, je préfère garder les yeux fermés ...
Dionysos = "Flamme à lunettes"
J'aimerai faire comme dans cette chanson
"On se frottera, l'un contre l'être à sen faire crâmer le squelette et à l'horloge de mon coeur à minuit pile on prendra feu"
Passage
Pas sage
Pase âge
Volage
Vol âge
Je n'y vois que du feu.
Un peu de musique, et le sourire revient aussi vite. Je voudrai passer ma vie avec des trois garçons, et une autre vie avec ces trois ou quatres filles.
Finalement ce n'est pas compliqué de retrouver le sourire, Dionysos et tout va mieux, avec son sourire et ses doigts qui jouent avec mes bricoles c'est encore mieux.
De l'un à l'autre, et de l'autre à l'un.
Entre la douceur d'un yaourt à la framboise et la magie de fines gauffrettes et de chocolat.
Je me fous, d'y voir flou, pas besoin de lunettes pour embrasser et chanter, je préfère garder les yeux fermés ...
Dionysos = "Flamme à lunettes"
J'aimerai faire comme dans cette chanson
"On se frottera, l'un contre l'être à sen faire crâmer le squelette et à l'horloge de mon coeur à minuit pile on prendra feu"
Passage
Pas sage
Pase âge
Volage
Vol âge
Je n'y vois que du feu.
Un peu de musique, et le sourire revient aussi vite. Je voudrai passer ma vie avec des trois garçons, et une autre vie avec ces trois ou quatres filles.
Finalement ce n'est pas compliqué de retrouver le sourire, Dionysos et tout va mieux, avec son sourire et ses doigts qui jouent avec mes bricoles c'est encore mieux.
Jeudi 27 novembre 2008 à 20:21
On aurait dit qu'on tirait des fusées à base de poussières d'étoiles dans un ciel plus proche de la mer et de ses reflets éclatants que du ciel.
Oui, on aurait dit. Et on dirait toujours que tes yeux sont comme un ciel tourmenté de Bretagne, tantôt lumineux et éclatant, tantôt terne et pluvieux.
Je voudrai percer le secret de ton irrépréssible sourire, et plus encore, celui de ton regard impossible.
Mercredi 26 novembre 2008 à 17:55
Falaises, bords, coins, eau, feu, étaud, corde, poison, flèche, arc-en-ciel, banc, bois, chaleur, main, soleil, tête, nuage, chant, écriture, résonnance, bombardement, chute, frissons, froid, mal aise, sourire, envie, terre, pieds, glisser, pierres....
Je pourrai vous dire que j'ai l'impression d'avoir le coeur comprimé, comme si un gamin le serrait très très fort dans ses mains pour ne pas le faire tomber.
Je pourrai vous dire que vous n'avez pas à me plaindre parce que je ne me plains pas moi même, et qu'il est trop tôt pour ça.
Je pourrai vous dire que je crois que tout à changer ce 13juin 2008.
Je pourrai vous dire que je me sens mal, comme si j'avais un feu qui bouillonnait dans mon bas ventre.
Je pourrai vous dire que bientôt, même sans être fatiguée ou avoir bu un minimum d'alcool je ne suis pas certaine de pouvoir encore bien me maitriser.
Je pourrai vous dire qu'à ce moment là peut être je penserai de moi que je serai tomber bien bas.
Je pourrai vous dire des tas de choses.
Je pourrai me taire aussi.
Il faudrait que Sarah arrête de tourner en rond et qu'elle reprenne contact avec la réalité, bientôt il sera sans doute trop tard.
Vous connaissez cette sensation de flottement où on se sent à la fois léger et lourd ? Ce poids dans le coeur et cette légèreté dans le crâne ?
Ben voilà, j'ai tout dit sans rien dire.
Je vous raconte rien en ce moment, je ne sais même plus vous parler.
Attendre que la mécanique se remette en marche.
Je pourrai vous dire que j'ai l'impression d'avoir le coeur comprimé, comme si un gamin le serrait très très fort dans ses mains pour ne pas le faire tomber.
Je pourrai vous dire que vous n'avez pas à me plaindre parce que je ne me plains pas moi même, et qu'il est trop tôt pour ça.
Je pourrai vous dire que je crois que tout à changer ce 13juin 2008.
Je pourrai vous dire que je me sens mal, comme si j'avais un feu qui bouillonnait dans mon bas ventre.
Je pourrai vous dire que bientôt, même sans être fatiguée ou avoir bu un minimum d'alcool je ne suis pas certaine de pouvoir encore bien me maitriser.
Je pourrai vous dire qu'à ce moment là peut être je penserai de moi que je serai tomber bien bas.
Je pourrai vous dire des tas de choses.
Je pourrai me taire aussi.
Il faudrait que Sarah arrête de tourner en rond et qu'elle reprenne contact avec la réalité, bientôt il sera sans doute trop tard.
Vous connaissez cette sensation de flottement où on se sent à la fois léger et lourd ? Ce poids dans le coeur et cette légèreté dans le crâne ?
Ben voilà, j'ai tout dit sans rien dire.
Je vous raconte rien en ce moment, je ne sais même plus vous parler.
Attendre que la mécanique se remette en marche.
Mardi 11 novembre 2008 à 14:00
La musique
Nous
Nos titubements maladroits.
A ces instants là nous étions beaux.
Quand nous flottions, quand ne maitrisions plus rien.
Quand nous ne nous controlions plus.
Quand nous sourions et pleurions parce que nous en avions envie et besoin.
Nous étions beaux.
Et nous le serons encore.