Dimanche 25 janvier 2009 à 17:35

Vendredi soir, regardant par hasard France 4, Taratata commence.
Allez-y dites que c'est une émission de vieux, que c'est ringard et tout ce que vous voulez, il n'empêche que cette émission musicale présente des artistes de qualité et de gouts et musiques variés.

SNOW PATROL

Evidemment. Je replonge dans mes CDs, ils commencent à jouer et alors tout remonte dans ma gorge et m'étouffe presque. Cette beauté, ces paroles... Cette symphonie à laquelle mon coeur semble faire allégence pour les millénaires à venir.
Ils n'ont cependant je trouve, pas diffuser les meilleures. Quelques unes des meilleures les voici...
 


Sarah espère qu'elle pourra faire route vers les Eurockéennes de Belfort cet été, parce que le programme est dément !

Samedi 3 janvier 2009 à 14:55

Parce qu'on ne devrait jamais oublier à quel point ça peut être bon.
Ca vous rentre dedans comme ça d'un coup, et vous commencez à bougez en rythme, vos lèvres tremblent un peu et annonent et au final vous hurlez, parce que c'est vraiment trop bon de crier les paroles comme ça, parce qu'on ne peut pas se retenir.

Just listen



J'ai compris plein de paroles que j'avais pas compris avant.... Comme quoi quand on est petit on est vraiment innocent ^^

Lundi 8 décembre 2008 à 18:54

Vous avez envie de pleurer quand on vous parle de lui. Vous avez envie de hurler quand on vous parle de cet autre. Vous avez envie de lui tomber dans les bras et de l'embrassez celui là, oui celui-là...
Et quand, affaiblie à ce point vous entendez ces mots à la radio, vous n'en pouvez plus.
Vous ne voulez plus être honnête, vous ne voulez plus rien tenter. On vous a torturé, on a joué avec votre réceptacle rythmique, on a trituré vos membres, on vous a emmélé le cerveau... Non, vous ne voulez plus, mais quand vous entendez ça, mais voulez. Vous voulez plus que tout. Vous le désirez si fort que même si vos lèvres restent immuables les sons doivent percer les tympans des autres.
Il y a des moments comme ça, où votre poitrine palpite tellement fort qu'elle gonfle, puis s'applatie et finalement vous l'applatissez vous même pour tenter de limiter les dégats...Qui sait si un jour quelqu'un saura prendre soin du coeur maudit de la princesse à la poitrine applatie. En attendant, elle attend, et vous écrit encore de temps à autres des articles étranges.

.....

J'aurai aimé tu sais
Eviter nos fausses mesures
J'aurai même préféré
De nous une lettre d'injures

J'aurai voulu parfois
Oui t'étrangler aux quatres vents
Te serrer dans mes bras
Ah ça j'aurai voulu souvent

.......

Dimanche 16 novembre 2008 à 14:09

Arriver en ville, attendre trois quarts d'heure qu'ils arrivent.
Se ballader dans les rayonnages CDs, redécouvrir des disques qu'on connait déjà, avoir les yeux écarquillés de voir toutes les merveilles qui ont pu sortir pendant qu'on avait les yeux occupés ailleurs. Vouloir sauter dessus, se retenir, attendre, se maitriser. Noter tout ça sur une liste immense.
Sortir du magasin, attendre dans le froid, les mains dans les poches, le nez tout rouge de froid, observer les gens, être jalouse.
Voir leur bus qui arrive, vouloir leur laisser encore un peu d'intimité, détourner le regard.
Souffler un bon coup, puis leur faire signe.
Marcher dans la ville avec eux, se raconter des histoires.
Etre génée par les blancs qui se faufilent dans la conversation.
Se séparer d'un compagnon et rester avec cette autre.
Aller manger, papoter. Se raconter des choses personnelles, génantes.
Avoir des bouffés de chaleur, faire des confessions. Oser raconter des choses un peu tristes qu'on évite en général parce que quand on les raconte on se sent vraiment comme une pauvre petite souris blanche entre les mains de laborantins.
Donner des conseils, réaliser qu'on est certainement la personne la plus mal placer pour donner des conseils d'ordre amoureux.
L'avouer, avouer pourquoi, avoir peur de la réaction, être soulagée.
Aller aux toilettes, se rendre compte qu'on est rouge comme si on avait couru parce qu'on avait l'ogre à ses trousses.
Se raffraichir, sortir.
Marcher encore dans la villes, dans les ruelles sombres, croire qu'on est perdu, retrouver son chemin.
Arriver devant les portes du concert.
Attendre qu'on ouvre.
Rentrer dans la salle, s'asseoir, découvrir Le Caveau des Trinitaires.
Ecouter les ajustements, les mises au point.
Entendre que ça commence, rester assise parce que tout le monde l'est malgré votre corps qui bouge tout seul.
Attendre que les artistes veuillent bien nous dire de nous lever, se lever avec bonheur, rejoindre les autres, bouger pour de bon.
Sentir que le sourire qui vous est montés aux lèvres dès les permières notes n'a pas disparu.
Se sentir bien,d ans une chaleur douce et rassurante et profiter....

Jil is lusky : Joyeux, entrainant, pop folk...

Claire Denamur : Charmant, amusant, délicieux, ballade, une voix à la Edith Piaf

Bensé : Magnifique, sublime, et le meilleur dans tout ça, c'est de se dire que la veille on avait écouter l'album sur le net et qu'on connait encore les paroles alors qu'on n'avait écouter les chansons qu'une seule fois.

Profitez..... Je n'ai juste pas pu trouver de morceaux de Claire Denamur, je suis désolée parce que ça vaut franchement le coup...
A défaut de morceaux directs, ils sont sur son myspace, allez-y ça vaut le coup, vraiment ....



Deux superbes dédicaces de Jil is Lucky et Claire Denamur, malheureusement pas de Bensé, pas le temps, je devais partir et je n'ai pas le droit de m'acheter son album, puisqu'il est sur la liste de mes cadeaux d'anniversaire potentiels......c'est triste, mais c'était beau.

Dimanche 31 août 2008 à 14:29

Tous les ans, je redécore entièrement l'extérieur et parfois un peu l'intérieur de mon agenda .Cette année je ne savais pas quoi faire sur la quatrième de couverture de mon agenda, et puis des jeux de mots sont venus s'emparer de mon esprit, alors voilà ce que ça donne à peu de chose de prêt.

Sur le fil...
...âge je me ménage
...houx je me joue de tout
...heure j'imite mon saule pleureur
...haie je m'en vais
...amant je funambule sur tes courbes.

Que faire quand on ne sait pas quoi faire ? Dessiner, trouver des jeux de mots qui viennent tous seuls sans qu'on n'ai rien demander, gribouiller, machonner, recommencer, déchirer, râler, diluer, appeler, marmonner, ronchonner, oublier, écrire.

Ecrire, toujours écrire. Il faudrait que je m'attaque à la suite de cette histoire, la seule qui me tienne tant à coeur et pourquoi pas en recommencer d'autres, des toutes petites comme avant. Mais est ce que je saurai encore le faire, je l'aimerai bien. Il y a quelques jours (peut être quinze) une amie m'a prêté "Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi" de Mathias Malzieu le chanteur de Dionysos et je me suis retrouvée transporter, je n'avais encore jamais lu ses livres jusque là, mais je sais maintenant que je ne pourrai plus m'en passer. Puis je l'ai rendu et mon amie m'a dit en lisant ensuite qu'elle avait l'impression que mes écrits ressemblaient aux siens. Et il suffit de toutes petites choses pour que la joie vous explose le coeur et que les feux d'artifices envahissent votre tête, on ne m'avait jamais fait je crois si beau compliment. Même s'il est impossible que celà soit vrai. Je ne suis rien comparé à ce monstre de l'écriture, ce génie des mots.

Tout est "mort" par ici, plus personne ne vient, même plus moi. J'ai préféré à ce monde mes révisions, mardi tout recommence en terminale, et cette fois au bout de l'année c'est le BAC. Il y a de quoi vous plomber et vous miner le moral, mais réjouissez vous amis car un antidote existe toujours dans la musique, j'ai trouvé le mien, enfin les miens... En voici quelques uns....


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