Samedi 10 novembre 2007 à 14:35

Dans la vie de chacun, il arrive des moments où des choix se présententent à nous. Et là, il nous faut choisir. Choisir entre deux choses auxquelles nous savons très bien que renoncer à l'une ou à l'autre sera un déchirement. Ainsi je déteste choisir. Choisir quelque chose alors que nous ne connaissons pas le dénouement possible dans l'un et l'autre cas. Choisir entre un gateau au chocolat et une part de pastèque, entre deux chemins, entre deux amis, entre deux êtres chers, entre deux personnes aimées, entre le plaisir et la raison.

Le coeur a ses raisons que la raison ignore. C'est totalement faut, la raison n'ignore jamais rien. Elle peut s'effacer un instant mais elle reviendra toujours.

J'ai besoin de temps. Mais du temps je ne sais pas si j'en ai. J'ai besoin....en fait je n'ai besoin de rien ou presque. Le nécessaire pour vivre correctement. Mais l'amour me manque. Mais comment pourrait-il me manquer ? C'est une situation que je n'ai jamais pu comprendre, le manque survient lorsqu'on perd une chose qu'on avait. Alors pourquoi ai-je donc l'impression d'être en manque d'amour, moi qui n'ai jamais connu celà que dans le sens platonique et à sens unique. Comment est-ce possible ? Choisir de laisser la personne tant chérie construire sa vie avec quelqu'un d'autre, loin de sois, pour son simple bonheur, ou bien se battre et être heureux, fermer les yeux sur les sentiments de l'autre.

L'amour est égoïste, c'est une chose acquise.

Le choix se révèle impossible. Dans un cas c'est moi qui souffre, dans l'autre c'est la personne, peut être même cette personne et moi même. Je dis ça, mais ce n'est qu'un exemple. Je n'ai pas il me semble le pouvoir de faire un tel choix en cet instant. Ca je ne le choisis pas. Si j'ai dis ça c'est simplement parce que je laisse mon esprit vagabonder et guider mes doigts sur ce clavier.

Lundi 5 novembre 2007 à 17:31

A partir du moment où on est persuadé d'une chose, on se la fout dans la tête et elle n'en sort plus et fini par vous bouffer de l'intérieur. Et là DEUX CHOIX s'offrent à vous.


1) vous outrepassez, vous vous en foutez vous vous la sortez de la tête quitte à vous faire une trépanation mais ça sort pas alors vous le gardez pour vous.


2) vous décidez de tout racontez persuadé que c'est ce qu'il y a de mieux à faire, que de toutes façons ça va vous bouffer mais vraiment méchamment si vous faites rien pour stopper ça.


Résultat des courses ? Dans un cas comme dans l'autre la réponse est pas très clair, ou même y a pas de réponses du tout ^^.



En gros vous prenez pas la tête, évitez les embrouilles coute que coute et restez vous même. Psychotez pas comme des malades ça sert à rien !

Dimanche 28 octobre 2007 à 11:50

C'est beau de rêver et d'avoir la tête dans les nuages, mais ça fait mal quand tu tombes et que tu t'exploses la tête sur le béton.

Faites attention à ça, soyez pas crétin, espérez toujours le meilleur en envisageant le pire. Je veux pas que vous souffriez, je veux pas vous voir triste, je veux juste vous voir sourire, avec un vrai sourire franc et pas un sourire qui veut dire "voilà t'es content ?!"

Ne cachez pas vos sentiments et vos émotions aux autres, soyez vous même. Moi je le fais, je m'en prend plein la gueule parfois, mais au moins, on peut pas dire que je sois faux-cul ou que je sois pas naturelle. Et puis il n'y a pas cette lutte intérieur entre ce que vous voudriez dire mais que vous n'osez pas et ce que vous dites et qui vous fait du mal, même si ça fait du bien aux autres.

Pensez un peu à votre bonheur, ne pensez pas qu'à celui des autres. Ne faites pas tous la même erreur que moi, pensez à vous de temps en temps, mais soyez toujours là pour ceux qui ont besoin de vous et que vous aimez.

Si je vous dit ça, c'est parce que je m'en suis rendue compte hier soir et encore aujourd'hui, en parlant avec mon frère notament. Mon frère a beau être un grand crétin, il n'est pas bête.

Samedi 27 octobre 2007 à 12:07

Qui veut croire au bonheur ?

Moi je veux y croire et d'ailleurs j'y crois. J'y crois très fort parce que le bonheur c'est comme les fées, il suffit d'y croire très fort pour le voir. Alors moi je crois au bonheur, parce que si je n'y croyais pas, je crois que j'écrirais pas ces mots, ici, assez souvent, je crois que je vous laisserai tous dans vos petites merdes et que je m'enterrerai dans la mienne. Mais moi j'y crois au bonheur, parce que je l'ai déjà eu, j'en ai déjà eu, j'en ai déjà vu et le bonheur c'est assez merveilleux pour être niais et nous rendre comme des enfants.

Vendredi 26 octobre 2007 à 21:40

Avant les coeurs d'artichauds je détestais ça, je trouvais ça affreux.

Mais finalement je me rends compte que les coeurs d'artichauds c'est pas les personnes qui jettent comme ça les gens et qui tombent sans arrêt amoureux de quelqu'un d'autre. Les couers d'artichauds c'est juste des gens qui souffrent tellement qu'ils trouvent pas d'autres solutions que de tomber sous le charme de quelqu'un d'autre pour oublier leurs blessures précédentes.

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