Lundi 22 septembre 2008 à 20:45

Y a des expressions bizarres des fois. Par exemple vous avez déjà remarqué que souvent on dit que quelqu'un a succomber à une maladie grave. Par exemple "l'automne dernier Monsieur Dupond a succombé à une crise cardiaque fulgurante...blablabla". Okay jusque là rien d'exceptionnel ni d'intéressant. Mais est ce que vous avez déjà fait le rapprochement avec une autre expression qui emploie aussi succomber.... "Et la douce et belle Marie succomba au charme irrésistible de Nathan" beurk beurk les niaiseries ^^
Alors c'est pas étrange de voir que "succomber" peut aussi être employé quand quelqu'un tombe amoureux ou sous le charme ? Ca voudrait dire que l'amour et le charme sont une sorte de douce mort ?
Et puis dailleurs si on part comme ça....pourquoi dit-on "tomber" amoureux. Que je sache on ne se casse pas la margoulette (=pour ceux qui connaisse pas je peux aussi dire la binette, la tronche, la trombine et autres...) quand on tombe amoureux. Je plaindrai le nez des coeurs d'artichauds (et le mien par la même occasion vu qu'il rentre dans cette catégorie^^).
Et puis pourquoi on dit avoir un coeur d'artichaud....C'est vrai quoi c'est pas bon les artichauds....

Enfin bref tout ça pour dire que voilà, comme je l'ai déjà dit ce midi, y a des expressiosn bizarres. Y a des gens qui réfléchissent beaucoup trop. Y a des gens qui agissent trop sans réfléchir. Y en a qui font trop les deux. Et y en a des fois qui ferait mieux d'agir par moments et de penser par d'autres (je me vise pas du tout biens sur =_=). Sans compter ceux qui ferait bien de se la boucler !

Voilà sur ce bonne soirée, excusez moi ce fut long et chiant, sans intérêt mais bon....y a des jours comme ça où tout tourne autour de nous, surtout les mots dans la tête.


Petite merveille trouvée sur deviantart née sous le crayon d'un grand artiste : Pandabaka

Vendredi 11 juillet 2008 à 19:47

Cette après midi tout en faisant mon repassage, j'ai regardé Rencontre avec Joe Black. Je n'avais encore jamais vu ce film qui traînait dans l'armoire à DVD depuis des lustres sûrement à cause du réglage des langues bien trop complexe à mon goût.  Eh bien j'ai adoré les premières 2h25, quant aux 25 minutes restantes, je les ai haillie de tout mon coeur. C'était affreux, véritablement horrible ! La morale du film : la mort a trop de coeur pour tuer la femme qu'elle aime et l'emmener dans l'autre monde, alors elle lui rend l'homme pour qui cette demoiselle a eut le coup de foudre et repart pour l'autre monde. La morale ? La mort est bonne et ne peut trouver le bonheur ?!

Mais c'est pas vrai !

MAMAN : Bah tu pleures pas ?
MOI : Mais pourquoi tu veux que je pleure, c'est pourri !
MAMAN : T'es vraiment une sans coeur toi, c'est un happy end à l'américaine, c'est beau non ?
MOI : T'appelles ça un happy end toi ? Alors que la mort est destinée à être triste et à regarder la femme qu'elle aime heureuse avec un autre ?! Alors qu'elle va souffrir toute son éternelle et immortelle existence ?!
MAMAN : Attends choupette je crois que t'as pas compris....la mort, c'est le méchant de l'histoire, même si c'est Brad Pitt.
MOI : Mais j'en ai rien à battre moi de Brad Pitt ! Pourquoi les sois disant méchants ils doivent toujours finir malheureux ? Moi je suis persuadée que si on les aimait ils seraient pas plus méchants qu'on l'est nous.
MAMAN : Bah voilà que tu recommences...

Oui je sais je pompe l'air à tout le monde avec mes théories à la con, mais c'est vrai. Moi j'aime les monstres des histoires parce qu'ils se révèlent souvent bien plus humains que les humains eux mêmes. Leurs émotions sont bien plus palpables et semblables aux notres, je me sens bien plus proche d'un diable ou d'un démon (moins le physique et le charme exceptionnel évidemment, eh oui pour moi les démons sont beaux et le diable est une créature bien plus enchanteresse qu'une fée ou qu'un ange) que d'un ange ou d'une princesse.
Je vous laisse méditer ça tranquillement...

=) Ca faisait longtemps que je ne vous avez plus poussé à réfléchir un peu je trouve.


Découvrez Danny Elfman!

 

 

Samedi 31 mai 2008 à 17:44

Cette phrase m'a marquée, je ne sais pas pourquoi, une phrase parmis tant d'autres, ce n'est même pas la plus belle, celle que j'aimerai toujours, non, loin de là.
La Bête " C'est la première fois que je ressens ça. J'aimerai faire quelque chose pour elle. Mais quoi ?"
Big Ben " Oh il y a toute la panoplie des choses courantes : fleurs, chocolats, promesses qu'on n'a pas l'intention de tenir"
Et puis, la chanson de "Il était une fois" ne me quitte plus, depuis que je l'ai vu, elle revient sans cesse, souvent quand ça ne va pas trop ou que je suis en panique, je la chantonne et le sourire reviens et le monde alentour n'existe plus, tout est oublié.
(8) Un baiser pour un amour sincère, et un prince charmant pour lui plaire (8)

J'ai fait le tri dans mes 5 pochettes et retrouvé presque tous mes cours de français, je n'en ai perdu que 2, et en plus ce n'est qu'en partie. J'ai commencé à réviser ma première séquence, et toute la culture générale. Tout celà me plait bien, vraiment.

J'ai envie d'écrire des histoires qui font rêver les plus jeunes et étourdissent les âgés par leur niaise simplicité. Je veux aller en cours avec une fleur dans les cheveux, et une jolie robe bouffante, je voudrai que les marques affreuses sur mes jambes disparaissent, on dirait des taches de sang, un peu semblables à des coquelicots. Je voudrais que ça aille un peu plus vite, ou que le temps s'arrête mais pas que celà continue ainsi. Je voudrai découvrir que je ne suis pas ordinaire, changer de look, voir du monde, rencontrer des gens, partager des choses, apprendre des cultures, évoluer dans un univers, tracer ma route et me retourner de temps à autre pour m'assurer que tout va bien pour le reste du monde. Ouvrir un tiroir de mon crane et y graver chaque instant.
En ce moment je voudrai surtout pouvoir manger n'importe quoi tout en réussissant à chuter jusqu'au poids idéal, mais avant tout, je voudrai savoir en futile fille si je me laisse pousser les cheveux ou si je les coupe encore. J'espère que maman n'a pas changé d'avis par rapport aux pointes rouges qu'elle m'avait promise.

Le temps est gris, mais ça ne m'empêche pas d'être joyeuse et de chanter en me cassant la voix, sans doute grâce aux fraises du jardin, j'en ai avaler un plein saladier aujourd'hui. =)

C'est beau un orage, c'est comme la vie, à la fois sombre et lumineux par instants, étouffant par son silence et appeurant par son tintamarre.

Boom, comme le tonnerre. Splash comme l'éclair. Et paf comme toi qui t'effondres devant tant de beauté.

Jeudi 17 avril 2008 à 18:07

La Vie et le Temps on lancé un jeu sur notre dos. Et Ils font des paris en permanence.

Le Jeu c'est ça : Etre dans l'ignorance et l'incompréhension, nous perdre un maximum pour qu'on attende.
Le but du Jeu : Attendre jusqu'à ce que tu craques et que du coup tu saches, ou bien attendre jusqu'à ce que t'aies une révélation.

C'est con quand même. Mais ça doit être drole. Surtout avec cette société incomréhensible et les énergumènes qui peuplent nos rues et dont les odeurs flirtent avec nos sens.

Jeudi 17 avril 2008 à 12:28

La renaissance.... Une belle connerie tient. On lit ça dans tous les textes, entre les lignes ou dans les lignes. Partout. On ne renait pas, on se renouvelle. Comme notre corps le fait en permanence dans un défit de survie et de santé. On change. Un peu, beaucoup. On fait des choix. On les assume. On les regrette. On laisse aux autres le soin de réfléchir pour nous. On se laisse déborder par les évènements. Influencer par la musique. Là les guitares et les basses prennent de l'ampleur et de la consistance, je sens la rage monter en moi et je cri couvrant la voix du chanteur de Luke.

C'est incompréhensible. Elle touche le bonheur du bout des lèvres, et elle ne l'embrasse pas. L'amour ne la prend pas. La peur ne l'ensseveli même pas. C'est comme toutes ces filles comblées qui ont tout pour elles mais n'ont jamais été heureuses.

A l'inverse il y a les filles heureuses pour rien. Le coeur éxalté en permanence que seul la jalousie vient ternir ou au contraire ravivé.

Et puis il y a les garçons. Sans doute tellement plus sensibles et plus faibles que les filles. Faibles parce qu'ils se sentent obligés de cacher leurs émotions, de fuir sans arrêt pour ne pas se sentir pris au piège. Sensibles parce qu'on lit dans leurs yeux bien plus qu'une émotion à la fois.

Mais on ne sait rien des autres. On ne peut qu'émettre des hypothèses. Comment savoir si les meilleurs potes qui nous accompagnent au jour le jour ne nous racontent pas des bêtises juste pour éviter qu'on pose trop de questions ? Comment savoir si la voisine de Géo est comme nous ? Comment savoir, comment prévoir, comment faire ce qu'il faut ? On se trompe, on passe son temps à se tromper, à jouer à cache-cache, à qui en aura assez le plus vite. On change tous les jours, toutes les secondes, à chaque poussière qui s'écrase sur nos ongles. Comment savoir les autres alors qu'on ne se sait pas soi même ?

Le monde est con, et c'est bien ainsi. Un jeu perpétuel. Comme une pèche aux canards, un loup, un chat perché.

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