Mercredi 5 décembre 2007 à 18:26

Ah, quelle misère. Bon sang l'être humain est vraiment trop complexe et paradoxal.

Je souffre du palpitant et pourtant à chaque fois que je parle de ****************** (owh le beau prénom huhu) bah j'ai un affreux sourire ultra niais qui se fixe sur ma face de jeune fille crétine.

L'être humain est vraiment trop idiot. Plus on le fait souffrir plus il en demande. Encore, encore et encore. Le goût de la souffrance, du malheuret de la misère vaut plus pour lui que le bonheur qu'il prétend rechercher, qu'il prétend être son but ultime. Mais non, parce que l'homme est habitué à la souffrance, c'est quelque chose qu'il connait et ressent au quotidien. L'être humain a peur de l'inconnu. Voilà pourquoi même encore maintenant, à 16ans, je ne peux m'empêcher d'allumer la lumière ou que j'aille je n'éteint pas la lumière avant de dormir. Je dors encore avec une veilleuse...Eh oui, il faut ce qu'il faut pour combattre ses peurs.

Samedi 24 novembre 2007 à 22:21

Finalement, je ne sais pas si l'amour m'intéresse.

 

On se cherche.

 

On se trouve.

 

On s'aime.

 

On se trahi.

 

On se fait du mal.

 

On se déteste.

 

On se quitte.

 

On se regrette.

 

On cherche à nouveau.

 

Et tout recommence....

 

 

Vision noire, je veux bien l'admettre. Mais c'est quand même réaliste. En plus quand vous vous attachez vite, vous êtes foutu avant que ça ai commencé. Vous êtes morte avant d'être en vie.

Samedi 24 novembre 2007 à 12:38

On soupir tous. Simplement en ce moment on pousse tous de plus en plus de soupir. Moi même en ce moment, ne trouvant pas bien quoi écrire ici, je soupire. Je me rends compte que bientôt je perdrai peut être définitivement toute trace de jeunesse en moi avec mon seizième anniversaire. Le temps ça passe, parfois trop vite, parfois trop lentement. En ce moment les deux. Trop vite parce que chaque seconde de passée est une seconde de perdu, une seconde sans elles, une seconde sans eux. J'ai envie de renoué le contact, de retrouver des liens avec des gens à qui pourtant je n'ai plus palé depuis tellement longtemps... C'est comme si ces gens à qui je pense encore assez souvent avaient disparu de la surface de la terre. Une fois que je les croise, on se reconnait, on se sourit et on passe, comme ça. Je déteste ça. Je voudrai retrouver Ludo qui a tellement changé, revoir tous ces gens qui ont été présent un jour dans ma vie. Où en sont-ils maintenant ? Sont-ils enfin heureux ? Ont ils trouvé leur place ? Les idiots sont ils toujours les même ? Les gens continuent-ils à prendre les autres pour des passe temps, des bouche trou ? Que je déteste ce mot. Mais on ne peut après tout rien y faire. On ne peut rien faire pour les âmes perdues que de leur montrer la voie qui nous semble la plus indiquée pour eux, nous ne pouvons pas les forcer à l'emprunter. On ne peut aider les gens contre leur gré, tout au mieux, nous les détruisont. Les gens sont détestables, mais comment se passer de leur détestable voix, de leur méprisable façon de parler et d'être en public. En dehors de tout ça, chez eux, hors de tous artifices, ce ne sot plus les mêmes. Une fois la carapace retirée, ils sont les plus adorables personnes au monde, ou au contraire des démons qui ne demandent en journée qu'à sortir. Chacun de nous à son histoire, ses choix, mauvais ou bon, sa vie méprisée ou adorée, mais en aucun cas une vie ne peut être pitoyable. La vie, même si elle ne nous fait pas de cadeau, il faut qu'on l'apprivoise, parfois qu'on se batte avec elle, mais au final, elle finit toujours par nous récompenser. Parfois elle nous punit sans raison, sous le coupd e la colère, de la folie, mais elle sait reconnaitre les gens qui valent la peine. Il n'y a pas de bon ou de mauvais, il n'y a que des nuances.

Vous croyez que la vie c'est du concret ? Moi pas. Mais c'est tellement plus impressionnant et merveilleux quand c'est abstrait, quand on essait de déchiffrer, quand on se creuse le crâne à la recherche d'un message. Finalement, la plupart du temps aucun message n'est laissé, pourtant nous en trouvons un quand même. Et chacun notre tour, nous avençons, nous écrivons les pages de notre histoire, nous retrouvons les éléments de nos autres vies, des images, des flashs passés en boucle dans notre tête. Des élements dont personne ne se souvient mais qui nous sont bels et bien arrivés, en rêve, ou en vie. Simpelement, c'est peut être ridicule, mais je crois que nous n'avons pas qu'une vie. Que notre présence ici est essentielle à la punition de nos faits passés, à notre ouverture. Nous ouvrons peu à peu les yeux sur ce qui nous entoure. Et je ne parle pas des scientifiques et autres. Eux sont inccapables de croire encore à quelque chose d'un peu fou, de non matériel. L'immatériel existe, il nous dépasse.

Vendredi 16 novembre 2007 à 21:10

Fin de l'histoire.

 

Ras le bol de vous parlez de moi, de dire que je vais pas bien, j'arrête de me plaindre ! Je reste comme je suis, mais avec ça en moins !

 

Vous me croyez ?

 

Vous avez tort, tellement tort si vous saviez à quel point ! Faut pas me croire, faut pas m'écouter, à la limite vous me lisez. Mais finalement Sarah c'est quoi ? C'est moi, une fille, comme ça, qui se ballade et se plains tout le temps de tout, qui dit toujours qu'il faut être heureux etvoir son bonheur, mais qui est incappable de le faire elle même. Et vous voyez je me plains encore. J'avais dit que je changerai, j'avais dit que je deviendrai forte, j'avais dit que j'aurai plus peur de m'exprimer, j'avais dit que j'arrêterai d'être renfermée sur moi même....

 

Bon allez, cette fois faut que ça change, j'ai besoin d'une tornade magique qui ballait tout. Tout recommencer, tout est à refaire, alors allons y !

 

Courage !

Mercredi 14 novembre 2007 à 14:38

Pourquoi je peux pas t'oublier comme elles le font toutes ? Pourquoi j'arrive pas à te laisser partir ? Pourquoi je me raccroche à eux quand ça va pas ? Pourquoi je me raccroche toujours aux mecs quand ça va pas ? Pourquoi quand je parle et que je raconte ma vie et quand j'ai envie de parler c'est toujours avec des garçons ? Pourquoi je les comprends mieux que les filles souvent ? Pourquoi je peux pas comprendre quelque chose sous prétexte que je me rend pas compte ou que je suis trop jeune ou que je suis une fille ? Pourquoi on n'ouvre pas cette grande cage qui me blesse ? Pourquoi la vie est une salope ? Pourquoi les filles sont des hystériques ? Pourquoi je suis lunatique et hystérique ? Pourquoi on dit de moi que je suis une bosseuse ? Pourquoi je prends tout trop à coeur ?

Si je dors beaucoup, c'est parce que je vis ma journée à fond et qu'il me faut plus de temps pour récupérer, puisque j'ai plus dépensé on va dire.

<< S'imprégner du futur | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | Embrasser le passé >>

Créer un podcast